CLIENT : Prince Rupert Gas Transmission Ltd. (PRGT)
LIEU : De Hudson’s Hope à Prince Rupert, Colombie-Britannique, Canada
Le projet de transport de gaz de Prince Rupert est un projet de gazoduc de 900 km traversant le nord de la Colombie-Britannique, commençant près de Hudson’s Hope à l’est et se terminant près de Prince Rupert sur la côte ouest. Les infrastructures connexes comprennent de nouvelles routes et des améliorations, des stations de compression et de vannes, des traversées aériennes (ponts) et des traversées de cours d’eau par forage directionnel.
BGC a été impliqué dans de nombreux aspects du projet depuis le début de l’année 2013. Nous avons réalisé une cartographie de la stabilité du terrain couvrant environ 1 500 km de tracés proposés pour le gazoduc principal et les gazoducs alternatifs. Nous avons également fourni des évaluations des géorisques terrestres et littoraux, des risques sismiques et de liquéfaction, des risques de lixiviation des métaux et de drainage des roches acides, ainsi que des risques d’avalanche de neige. D’autres évaluations ont porté sur la cartographie du substratum rocheux peu profond, le contrôle de l’érosion, la délimitation des fondrières pour le contrôle de la flottabilité et les traversées aériennes pour la conception des fondations des supports de canalisations et l’atténuation des géorisques. D’autres travaux de BGC ont inclus la caractérisation des risques hydrotechniques et la conception de plus de 1000 traversées de cours d’eau en tranchée.
Les études géotechniques réalisées par BGC pour le projet comprenaient des forages et des études géophysiques pour caractériser et évaluer la faisabilité de la conception :
BGC a également mené des programmes de forage en mer et en zone littorale à partir de plates-formes flottantes et de barge autoélévatrice afin d’étayer la conception technique détaillée. BGC a agi en tant qu’entrepreneur principal pour ce projet et a engagé des sous-traitants locaux dans les domaines du défrichage, du forage, de la géophysique, de la médecine et des Premières Nations pour soutenir les travaux d’investigation du site.
